Hunter Biden traite Jill de « rétine vindicative » et de « con….e autorisé » dans des textos adressés à la veuve de son frère.
Publié le 11.7.2022
Hunter Biden s’en est pris à sa belle-mère Jill dans des textos en 2018, alors que sa famille essayait de lui obtenir de l’aide pour sa dépendance…
En 2018, alors que sa famille et ses proches tentaient de l’aider pour son addiction au crack, Hunter Biden s’en est pris à sa belle-mère, Jill Biden, dans des textos envoyés à Hallie Biden, la veuve de son frère.
Hallie, avec qui Hunter Biden sortait de façon scandaleuse à l’époque, a reçu des textos grossiers l’attaquant, ainsi que Jill Biden, et les qualifiant toutes deux de « con….e[s] en droit ».
Il a écrit à la veuve de son défunt frère : « J’emmerde ma belle-mère pour avoir toujours été une con….e égoïste et stupide comme toi ».
Quelques jours plus tard, dans un échange avec son oncle James Biden, il a qualifié sa belle-mère de « putain de crétin, un crétin vindicatif ».
Il ressort clairement de ces échanges que Hunter Biden n’est pas un fan de Jill. Cependant, il pense que le sentiment est réciproque.
« Et tu sais que le plus ivre que j’ai jamais été est toujours plus intelligent que tu ne pourras jamais comprendre et que tu es un professeur de grammaire qui ne survivrait pas à un cours dans un programme d’études supérieures de l’Ivy », a déclaré Hunter dans des textes adressés à sa belle-mère.
« Alors va te faire foutre, Jill, on est tous d’accord que je ne t’aime pas plus que tu ne m’aimes. »
Hunter Biden s’est battu contre la toxicomanie pendant des années et a fait plusieurs séjours en cure de désintoxication pendant cette période. Les textos révèlent également que son père, Joe Biden, ne lui aurait jamais rendu visite en cure de désintoxication et ne l’aurait même pas appelé une seule fois pendant ses tentatives de guérison.
Ces textos ont été récupérés sur un iPhone sauvegardé sur l’ordinateur portable de Hunter Biden. S’il fallait une preuve supplémentaire que cette famille est aussi dysfonctionnelle que corrompue, la voici.
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